Déjà 12 jours que j'ai écrit - que le temps passe vite!!!
Depuis je travaille toujours au département de génie électrique et informatique. Je continue à faire des boîtes, et Dieu sait qu'il y en a des boîtes. Et, enfin, arrive la vente débarras. Avec l'aide de ma fille et mon fils on apporte tout ce que j'ai au sous-sol de l'église St-Patrice à Magog. Marie-Jo et moi y passons la journée. Journée longue où je me répète souvent "que d'ouvrages pour la peine". Il fallait toutefois y retourner le dimanche pour finir la journée. Mais... serait-ce mon corps qui répond à mon non désir d'y retourner? Dans la nuit de samedi à dimanche, une gastro "monstre". Je suis malade, complètement malade... Les enfants ont dû aller terminer la vente pour moi. À la fin de la journée ils se débarrassent du "non-vendu" dans un dumpster sur le chemin de retour. Le lundi je n'ai pu aller travailler et j'ai payé pour le mardi. Mais, maintenant qu'on est rendu au vendredi, ça va mieux.
Bon, maintenant, où étions-nous? Ah! oui, Cap-des-Rosiers. Nous continuons sur la 132 vers Gaspé pour nous rendre à Cap-aux-Os.
Cap-aux-Os est un village du Québec enclavé dans le Parc Forillon en Gaspésie. Il fait partie de la ville de Gaspé depuis le.
En 1840, à la carrière de la Pointe à la batterie, on commence à y extraire des blocs de grès. Les pierres, de teinte brune, furent utilisées pour la construction d'immeubles dans la région de Gaspé tel l’ancien hôtel Ash Inn à Gaspé.
En 1861, la mission Saint-Jean-Baptiste fut fondée à Cap-aux-Os. En 1929, la paroisse francophone fut érigée en l'honneur du premier habitant de l'endroit, Jean-Baptiste Ouellet. À cause des nombreux ossements de baleine trouvés sur la plage, l'endroit fut appelé Cap-aux-Os[2]. Un phare fut construit en 1950.
Il y a aussi une plage municipale, des campings privés et un autre camping qui fait partie du parc Forillon.
À la prochaine à Fontenelle (St-Majorique).
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