Eh! oui! les soumissions des différents déménageurs arrivent. Je m'attendais à ce que cela coûte cher, mais... Les prix varient de 150$ à 194$/heure pour un total de 26 heures. Je suis présentement très heureuse d'avoir travaillé et d'en avoir profité pour mettre des sous de côté. Déménager coûte cher - alors j'espère sincèrement rester en Gaspésie plus d'un an!!!!?????
Parlons encore un peu de Rivière-au-Renard.
Le village de Rivière-au-Renard s’étale sur les rives d’une large baie ouverte sur le golfe Saint-Laurent, à l’extrémité est de la péninsule gaspésienne. Il a été fondé vers 1790 par quelques familles canadiennes françaises et irlandaises (c'est justement l'union de ma fille: une fille française avec un gars irlandais!!!). Ainsi, l’on retrouve côte à côte des Bond, des English, des Tapp (bizarre: le nom de mon propriétaire est Tapp ainsi que celui de mon arrière grand-mère maternel), des Élément, des Chrétien, des Joncas, des Jalbert (comme Florence, petite cousine de ma mère), des Dupuis, des Samuel, etc.
Le curé de la paroisse, l’abbé Élias Morris, originaire de Douglastown, est lui-même d’origine irlandaise. Relèvent de sa paroisse les villages ou regroupements de Pointe-à-la-Renommée, l’Anse-à-Valleau, Saint-Maurice-de-l’Échouerie, Pointe-Jaune, Petit-Cap et Petite-Rivière-au-Renard.
L’ensemble fait plus de vingt kilomètres de côte et compte une population d’un peu plus de 2 000 habitants. Une partie d’entre eux vivent de l'agriculture. Pendant l’hiver, plusieurs tirent de leurs terres à bois qu’ils font scier ou qu’ils vendent aux moulins de Jean-Baptiste Jalbert, à la Petite-Rivière-au-Renard, et de Georges Plourde, à l’embouchure de la rivière au Renard. La majorité de la population a cependant pour activité principale la pêche de la morue.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire