lundi 27 avril 2015

Le travail...

Il ne faut jamais penser que parce que je travaille à la Faculté de génie j'en suis un... Au contraire. Aujourd'hui je ne me sentais pas à ma place tellement. Je suis au département de génie informatique et l'informatique est justement ce qui m'a poser problèmes toute la journée. Je déteste ne pas réussir à régler un problème mais, ici, je me dois d'être humble et de reconnaître que je ne sais pas tout!!!! Je sais, vous êtes déçus, moi aussi car je pensais vraiment que je savais tout!!!HAHAHAHA!

Je ne sais pas tout et c'est très bien car j'adore apprendre. Alors je crois que je suis au bon endroit car je sais que j'appendrai quelque chose tous les jours et cela me plait beaucoup.


Maintenant, continuons notre route vers la ville de Gaspé.

En quittant l'Anse-au-Griffon, nous nous rendons à Cap-des-Rosiers. Voici la présentation de Wikipédia de ce superbe village populaire pour son phare.

Le village de Cap-des-Rosiers est situé sur le littoral de la pointe Forillon, non loin au nord de Gaspé, située entre les localités de L'Anse-au-Griffon et de Cap-aux-Os. C'est aujourd'hui une porte d'entrée du parc national Forillon, en Gaspésie. Il fait aujourd'hui partie de la ville de Gaspé, mais constituait avant 1971 une municipalité appelée Saint-Alban-du-Cap-des-Rosiers.
Le lieu est fréquenté depuis le XVIIe siècle par des pêcheurs[2].
  • 1632 : La première apparition du nom du village orthographié sous la forme de Cap Rozier date de 1632 sur une carte réalisée par Samuel de Champlain[2].
  • 1652 : Onze associés sont les premiers concessionnaires de 'Cap-des-Rosiers', dont Louis d'Ailleboust et Jean Bourdon.
  • 1759 : Les Français y aperçurent la flotte du général James Wolfe, se dirigeant vers Québec, où il vaincra le marquis de Montcalm.
  • 1847 : Les gens de la place sont témoins du pire naufrage de leur histoire, celui du Carrick, où périrent plus de 130 immigrants irlandais[2]. Les survivants s'installèrent dans la région.
  • 1855 : Création de la municipalité de Cap Rosier[3].
  • 1858 : On construit le phare de Cap-des-Rosiers, d'une hauteur de 37 mètres, qui demeure encore le plus haut du Canada.
  • 1870 : Détachement de la municipalité d'Anse aux Griffons de celle de Cap Rosier, qui devient Cap-des-Rosiers[3].
  • 1873 : Érection canonique de la paroisse Saint-Alban de Cap-des-Rosiers. Le premier curé résidant sera nommé l'année suivante[4].
  • 1895 : Une partie de la municipalité de Cap-des-Rosiers prend le nom de Saint-Alban-du-Cap-des-Rosiers en récupérant aussi une partie du territoire d'Anse aux Griffons[3].
  • 1923 : La paroisse Saint-Alban compte 1025 habitants[4].
  • 1924 : Fondation de la Caisse populaire de Saint-Alban-du-Cap-des-Rosiers[4].
  • 1944 : La partie restante de la municipalité de Cap-des-Rosiers prend le nom de Grande-Grève[3].
  • 1964 : Inauguration de l'église Saint-Alban-du-Cap-des-Rosiers[4].
  • 1970 : Le gouvernement du Québec, à la suite d'une entente avec le gouvernement fédéral pour la création du parc national Forillon, exproprie sur une partie du territoire de Cap-de-Rosiers des terres habitées depuis des générations par des familles de pêcheurs et les cède à la juridiction fédérale, allant ainsi à l'encontre des recommandations de la Commission d'étude sur l'intégrité du territoire du Québec présidée par le professeur Henri Dorion[5],[Note 1].
  • 1971 : Les municipalités de Saint-Alban-du-Cap-des-Rosiers, de Grande-Grève et de L'Anse-aux-Griffons sont rattachées à la ville de Gaspé.



dimanche 26 avril 2015

La famille, les amis...

Oups j'ai sauté une journée! Mais j'ai de très bonnes raisons. La famille et l'amitié.

Hier nous sommes allés souper, Samuel, Lykia et moi-même, afin de souligner la réussite de Lykia au baccalauréat. Elle est donc bachelière. Bravo ma belle! Je suis très fière de toi. On a bien mangé, bien jasé et naturellement, rit. Des soirées comme je les aime!

Ce matin, deux merveilleux amis, Carole et Richard, m'avaient invité à petit-déjeuner avec eux. Nous sommes allés mangé au Jack-O (mais non pas celui de St-Élie -  celui de Magog). Après je suis allée faire un petit tour chez eux où j'ai remis à Carole mes pots Masson pour qu'elle puisse me faire des betteraves marinées avant que je parte (Yum!!!!!). Richard m'a aussi offert une belle montre et un petit pot de marmelade. Que je suis une fille gâtée et choyée. J'ai de très bons amis et je les aimes tous très fort; et comme je disais dans un post précédent,


Bon maintenant, place à la Gaspésie.

Prenons la route 132 et allons vers Gaspé. De Rivière-au-Renard il y a aussi moyen de passer par la 197, par la vallée, mais elle ne suit pas la mer. Alors prenons la 132. Le premier village que nous rencontrons est l'Anse-au-Griffon. Je vous cite ici les infos prises sur Wikipédia pour vous décrire ce beau petit village.

Le village de L'Anse-au-Griffon, compris dans la ville de Gaspé depuis le , est situé sur le littoral de la pointe de la Gaspésie non loin au nord de l'agglomération principale de Gaspé, et est bordé par le village de Rivière-au-Renard à l'ouest, Cap-des-Rosiers à l'est, la mer au nord et le Parc national de Forillon au sud.
Une grande partie de son territoire, la « Vallée de l'Anse-au-Griffon », fut expropriée en 1970 par le gouvernement fédéral pour être cédé au Parc national de Forillon. Ces terres comptaient parmi les rares terres cultivables de la région.

Son histoire:

Les premières traces de vie remonteraient à 9000 ans avant aujourd'hui. Trois campements récemment datés permettent de prouver la présence amérindienne paléohistorique dans la vallée de l'Anse-au-Griffon.
Ce village fut d'une grande importance dans l'industrie des pêches au XIXe siècle. John Le Boutillier, homme d'affaires jersiais, y fit construire des entrepôts pour le sel, la farine et la morue salée en 1840. Il se fit également construire un manoir pour surveiller ses activités commerciales dans la région. Bâtis en 1860, ce manoir fait maintenant partie du patrimoine canadien.
La municipalité de L'Anse-au-Griffon a existé de 1870 au 1er janvier 1971, date à laquelle elle a été fusionnée avec dix autres pour former la nouvelle municipalité de Gaspé

vendredi 24 avril 2015

Du repos...

Eh! oui! du repos. J'en ai un grand besoin après une semaine de bourrage de crâne au travail. J'avais l'impression aujourd'hui, avec la fatigue, que j'étais une débutante qui ne savait absolument rien. Donc, aujourd'hui, je n'ai rien fait qui est rapport au déménagement. Mais, pour garder le rythme, j'ai décidé de publier, histoire de ne pas perdre la main.

Aujourd'hui j'aimerais vous entretenir d'un endroit que j'ai adoré et qui se trouve à une vingtaine de minutes avant Rivière-au-Renard mais qui a son lot d'histoire.


POINTE-À-LA-RENOMMÉE et STATION MARCONI
 
 

Pour que ce site admirable, voisin de L’Anse-à-Valleau, ne sombre dans l’oubli, il fallait le courage et la ténacité de gens qui ont vraiment à cœurleur patrimoine. Déserté par la station radio maritime en 1957 et délaissé par les pêcheurs saisonniers dans les années soixante, le site de Pointe-à-la-Renommée semblait vouer à l’extinction par l’indifférence. Du statut enviable de première station radio maritime en Amérique du Nord (station Marconi), ce centre de communication, jadis important, se voyait en 1977, amputé de son phare, dernier vestige d’un illustre passé. «Rapine culturelle» qualifièrent les journaux, mais en vain…

En 1992, des citoyens énergiques de L’Anse-à-Valleau créent un comité local de développement. Leur mission, faire revivre Pointe-à-la-Renommée et rapatrier le phare.

 On a aménagé un circuit reconstituant la vie de l’époque (1880) où le site de Pointe-à-la-Renommée (Fame Point) était considéré un centre de communication et un repère indispensables aux pêcheurs et aux navigateurs. Avoisinant à ce site, se trouvait trois postes de pêche surnommés; La Coulée à Zéphir, le Ruisseau à L’Ail et Canne-de-Roches. Sur les pas des pionniers d’autrefois, on emprunte les sentiers sur les caps d’où la vue panoramique de la mer s’agrémente souvent de la présence de phoques et de baleines.

Au kiosque d’accueil, les guides-interprète vous feront revivre la vie simple et exaltante des familles, des gardiens de phares et des pêcheurs qui ont vécu sur ces rivages isolés. Pointe-à-la-Renommée invite à la détente et à la contemplation des vestiges du passé sur un site à la beauté magique.

Son phare, maintenant centenaire et qui a le plus voyagé au monde, fut rapatrié en 1997 après 20 ans d’exil dans le vieux port de Québec. (Réf: http://www.pointe-a-la-renommee.com/)
 

Un peu d'histoire

 
1er octobre 1880 : Mise en opération du premier phare dont la maison du gardien était annexée 
1883 : Construction de l’escalier terre-mer de 184 marches au coût de 50
1904 : Construction de la Première station radio maritime de télégraphie sans fil (T.S.F.) en Amérique du Nord dont l’indicatif d’appel est Victor Charlie Gulf (VCG) par Marconi
25 juin 1904 : Envoi du premier message en morse de cette station au paquebot «Le Parisian»
1er octobre 1907 : Mise en opération du deuxième phare
1er septembre 1957 : Fermeture de la station VCG à Pointe-à-la-Renommée et transfert de cette station à Rivière-au-Renard
1975 : Fin des opérations du phare
1977 : Départ du phare pour Québec (où il a été peinturé en blanc)
1992 : Début des négociations pour le rapatriement du phare
1994 : Célébration des fêtes du 90 e anniversaire de la station VCG
1997 : Rapatriement du phare de Québec vers son site initial (où il a retrouvé sa couleur rouge)
1998 : Reconstruction de la station Marconi
«Fête sur la mer» et message transmis par Radio-Canada aux quatre coins du monde
1999 : Lancement des livres par Madame Regina Lisik Nelson (épouse de Lloyd  Nelson, directeur de la station Marconi)
«The Fame Point years» et par la suite «Mes années à Pointe-à-la-Renommée»
2000-2001 : Construction de la maison-phare
2004 : Célébration des fêtes du 100 e anniversaire de la station VCG
2007 : Célébration des fêtes du 100e anniversaire du 2 e phare
2008 : Lancement d’un documentaire en DVD intitulé «Les confidences d’un phare»
2011 : Reconnaissance pour la création du service canadien de radiotélégraphie maritime à titre d’Événement historique national par la Commission des lieux et monuments historiques du Canada
2012 : Dévoilement d’une plaque commémorative relatant la reconnaissance nationale
 
 
 
 
 
 
 

jeudi 23 avril 2015

Pourquoi faire simple...

Deux gouvernements, deux fois plus de démarches, deux fois plus d'erreur possible, deux fois plus de mauvais langage...

On pourrait faire nos changements d'adresse à un palier et tout se ferait pour les deux! Mais non, ce serait trop simple. Donc il faut prendre son mal en patience et répéter tous les changements deux fois.

Enfin, il faut passer par là - alors allons-y!

Pour ma part c'est une belle perte de temps!

En travaillant toute la journée à me faire emplir le crâne de connaissances (comme si je n'en avais pas assez), j'arrive à la maison "brulée". Donc je fais les choses simples à faire et je garde la job de bras pour la fin de semaine. J'ai toutefois hâte à la fin de semaine prochaine où je débarrasserai une bonne partie du salon de la bonne quantité d'objets hétéroclites que je vais essayer de vendre.

LE PARC FORILLON (suite et fin)

Voilà je vous fais découvrir une autre visite possible du Parc Forillon mais vous devrez venir découvrir par vous même ce qui reste à visiter. Pour les campeurs, il y a de beaux terrains au sein même du Parc.

Dernière visite virtuelle:

Lieu historique national du Phare-de-Pointe-au-Père

           Merveilles naturelles et trésors culturels

Le phare et ses bâtiments la nuit.
© Denis Roy
Nous sommes en 1861. Des compagnies font régulièrement l’aller-retour entre l’Amérique et l’Europe. Pointe-au-Père est alors choisi comme lieu d’embarquement exclusif des pilotes appelés à monter à bord des navires à vapeur. C’est qu’il est complexe, ce fleuve qu’on appelait «Grande rivière de Canada» au XVIe siècle! Des experts locaux doivent prendre la barre des bateaux qui s’y aventurent pour s’assurer que la traversée se déroule sans heurts. Parmi les plus importantes au Canada, la station d’aide à la navigation de Pointe-au-Père permet aujourd’hui de mieux comprendre la complexité du fleuve et le rôle joué par son phare, l’un des plus hauts au pays. Transformés en lieux d’exposition, le hangar de la corne de brume et la maison du gardien expliquent l’évolution des signaux sonores et le monde de l’archéologie subaquatique.

mercredi 22 avril 2015

Et ça continue...

Aujourd'hui je suis allez chercher, sur le site de protégez-vous, la liste des changements d'adresse qu'il faut faire. Il y en a toujours plus que l'on pense et il ne faut pas en oublier. Le conseil principal est de payer poste Canada pour faire suivre notre courrier pendant une période de 6 mois ou un an. Alors, c'est avec beaucoup de patience que je m'installerai ce weekend pour commencer à faire mes devoirs. Je donnerai une copies des documents aux petits (comme dirait Sylvie) soit Samuel et Lykia, car eux aussi devront faire leur changements d'adresse.

LE PARC FORILLON (suite)

Lieu historique national de la Bataille-de-la-Ristigouche

Merveilles naturelles et trésors culturels

1760. La France et l’Angleterre s’affrontent. À qui appartiendra le territoire nord-américain? L’avenir de la Nouvelle-France est en jeu… Le lieu historique national de la Bataille-de-la-Ristigouche vous permet de revivre l’ultime combat naval entre ces deux grandes puissances européennes pour la possession du territoire nord-américain. Admirez des vestiges de l’épave du Machault, restés sous l’eau pendant plus de 200 ans. Chargé de protéger des navires marchands français contre les Anglais, ce voilier de 26 canons est l’une des trois seules frégates françaises du 18e siècle découvertes à ce jour dans le monde. Pénétrez dans l’entrepont et la salle du conseil pour épier la vie à bord. De quoi était composée la précieuse cargaison destinée à la Nouvelle-France? Mystère…

Le Machault

L'épave du Machault

Après avoir séjourné pendant plus de 200 ans au fond de l'estuaire de la Ristigouche, l'épave du Machault révèle enfin ses secrets. Grâce aux fouilles subaquatiques réalisées de 1969 à 1972, une vaste collection d'objets a été mise au jour. Ces artefacts ont contribué à l'avancement des connaissances sur la bataille ainsi que sur les échanges commerciaux qu'entretenaient la métropole et la colonie à cette époque


Le Machault en modèle réduit

Acquise en 2005, la maquette de la frégate Le Machault attire depuis l’attention des visiteurs. Construite à l’échelle 1:32ème par le maquettiste Fred Werthman, la maquette, de par la richesse de ses détails, permet aux visiteurs de découvrir toute la splendeur de la frégate avant qu’elle ne sombre dans la rivière Ristigouche en 1760.

Vous aurez également l’opportunité de revoir en contexte certaines parties du navire qui sont en exposition dans le centre d’interprétation.


La maquette de la frégate Le  Machault La maquette de la frégate Le Machault
© Parcs Canada / G. Vandervlugt




mardi 21 avril 2015

Les activités...

Tous près de Rivière-au-Renard il y a plusieurs sites enchanteurs. J'aimerais, avec l'aide de M. Internet, vous présenter certains de ceux-ci.

LE PARC FORILLON



Situé sur la pointe de la Gaspésie, le parc Forillon est une péninsule montagneuse bordée par le golfe du Saint-Laurent et la baie de Gaspé. Forillon protège un territoire de 244,8 km2, incluant une bande marine de plus de 150 m de largeur (4,4 km2). Sa forêt boréale abrite une faune diversifiée facilement observable. Ses falaises vertigineuses accueillent des milliers d’oiseaux marins et ses rives hébergent des colonies de phoques. Les paysages sont grandioses et leurs roches renferment une partie de l’histoire fascinante de la planète. Pendant des milliers d'années, hommes et femmes ont peuplé la péninsule de Forillon: Micmacs, pêcheurs, marchands de morue, chasseurs de baleine, gardiens de phare, etc. Le parc Forillon raconte leur passionnante histoire! (www.pc.gc.ca)

Par ses aménagements et ses efforts de conservation, Parcs Canada vous invite à découvrir ce volet historique de la présence humaine à Forillon. Des bâtiments authentiques restaurés avec soin, des expositions thématiques, des sentiers d'interprétation, des films, des activités d'interprétation et de l'animation historique feront en sorte que toute la famille puisse s'initier à cette page du passé.

Dès que nous sommes en Gaspésie, nous visitons le parc Forillon. Nous affectionnons particulièrement, les enfants et moi, les sentiers pédestres et en autre celui de la chute du parc. Nous y retrouvons, chaque fois, la paix et la quiétude de ces randonnées. Demain j'aborderai d'autres aspects de ce magnifique site touristique.




lundi 20 avril 2015

Enfin c'est signé...

J'ai reçu aujourd'hui la dernière soumission des cinq demandées. J'ai bien fait de l'attendre car c'était la plus intéressante et la moins cher. Donc, check, le service de déménageurs. À travers tout cela j'ai commencé un nouveau remplacement aujourd'hui à la Faculté de Génie - département de génie électrique et génie informatique. Bourrage de crâne qui me fait mal ce soir. MAIS... il faut gagner des sous pour déménager; beaucoup de sous. L'ironie de ma journée, c'est que le CHUS, Mme Filion elle-même, m'a téléphoné pour un remplacement en radiologie où il n'y a plus de secrétaire "PAN TOUTE". Le petit velours que m'a fait mon non je ne suis pas disponible, vous ne pouvez pas vous imaginer.

Hier, dimanche, mon fils adoré est venu me donner un coup de main et on a fait énormément de travail. On a déménagé (?) des meubles de la chambre du fond au salon et du salon à la chambre du fond (lui dans le fond et moi dans le salon). On a pratiquement vidé toute la remise et apporter le tout dans la maison. On a fait des boîtes, etc... Ce fut une journée payante. Mon but est que tout ce que mes déménageurs auront à prendre soit prêt de la porte afin de ne pas perdre du temps lors du déménagement. On s'en vient bien!!!



samedi 18 avril 2015

Le plus difficile...

Aujourd'hui j'ai passé la journée avec mes trois amies et anciennes collègues du Centre de Recherche André Viallet où j'ai travaillé lorsque j'étais à Montréal. Nous avons passé une journée superbe à Granby. Le plus difficile sera de faire mes "Au revoir" à mes ami(e)s. Aujourd'hui était le début de ces "au revoir".

La vie a été super gentille avec moi en mettant sur mon chemin plusieurs personnes que j'adorent. Ces amies et amis sont ma vie, ma famille.

À la fin de la journée, nous avons essayé de trouver une autre date avant mon départ, après le voyage de Monique, avant le voyage de Françoise et... Y arriverons-nous? Je l'espère de tout cœur. Après mon départ nous resterons en contact mais ce ne sera pas "physique" aussi souvent.

Comme j'ai foi énormément à l'amitié que j'ai cultivé, je sais que ces amitiés seront toujours avec moi.

vendredi 17 avril 2015

Et les soumissions entrent...

Eh! oui! les soumissions des différents déménageurs arrivent. Je m'attendais à ce que cela coûte cher, mais... Les prix varient de 150$ à 194$/heure pour un total de 26 heures. Je suis présentement très heureuse d'avoir travaillé et d'en avoir profité pour mettre des sous de côté. Déménager coûte cher - alors j'espère sincèrement rester en Gaspésie plus d'un an!!!!?????

Parlons encore un peu de Rivière-au-Renard.

Le village de Rivière-au-Renard s’étale sur les rives d’une large baie ouverte sur le golfe Saint-Laurent, à l’extrémité est de la péninsule gaspésienne. Il a été fondé vers 1790 par quelques familles canadiennes françaises et irlandaises (c'est justement l'union de ma fille: une fille française avec un gars irlandais!!!). Ainsi, l’on retrouve côte à côte des Bond, des English, des Tapp (bizarre: le nom de mon propriétaire est Tapp ainsi que celui de mon arrière grand-mère maternel), des Élément, des Chrétien, des Joncas, des Jalbert (comme Florence, petite cousine de ma mère), des Dupuis, des Samuel, etc.
Le curé de la paroisse, l’abbé Élias Morris, originaire de Douglastown, est lui-même d’origine irlandaise. Relèvent de sa paroisse les villages ou regroupements de Pointe-à-la-Renommée, l’Anse-à-Valleau, Saint-Maurice-de-l’Échouerie, Pointe-Jaune, Petit-Cap et Petite-Rivière-au-Renard.
L’ensemble fait plus de vingt kilomètres de côte et compte une population d’un peu plus de 2 000 habitants. Une partie d’entre eux vivent de l'agriculture. Pendant l’hiver, plusieurs tirent de leurs terres à bois qu’ils font scier ou qu’ils vendent aux moulins de Jean-Baptiste Jalbert, à la Petite-Rivière-au-Renard, et de Georges Plourde, à l’embouchure de la rivière au Renard. La majorité de la population a cependant pour activité principale la pêche de la morue.


jeudi 16 avril 2015

Les préparatifs prennent du temps...


Ce matin était le bon matin pour faire des demandes de soumission pour le déménagement. Je fais confiance à une Cie de Magog que j'ai souvent utilisée mais comme mon budget est restreint, je demande des soumissions à d'autres compagnies aussi. Il ne faut surtout pas oublier quoi que ce soit et ce n'est pas évident. À la question : combien de boîtes? j'ai commencé à en faire mais combien en aurais-je? j'y suis allée avec le ± ce qui laisse un peu de latitude.

Il faut dire qu'à travers tout cela je prépare des items pour une vente-débarras que je ferai la fin de semaine du 2 et 3 mai prochain à Magog. Cette vente se fera au sous-sol de l'église St-Patrice. Alors ça fait beaucoup de choses à penser. Si vous avez des conseils - n'hésitez pas.

mercredi 15 avril 2015

Le village

Un départ pour RIVIÈRE-AU-RENARD, c'est là que je prends mon envol...

J'ai pris la décision, après en avoir parlé longtemps, de quitter l'Estrie pour la Gaspésie. Je vais m'établir au pays de mes ancêtres maternels. Pour moi est venu le temps de faire le grand saut. Je vous tiendrai au courant des démarches et de mes aventures pré, pendant et post installation dans ce très beau village.

Un peu d'histoire et de géographie. Sur l'image ci-dessous vous voyez exactement l'emplacement de ce beau village de pêcheurs par rapport à la péninsule gaspésienne. Collé au Parc Forillon (pour lequel mon grand père a été exproprié) beaucoup d'activités s'offrent aux habitants. Sans compter sur les beaux paysages qui l'entoure car le village est bordé d'un côté par la mer et de l'autre par le bois, les montagnes.

Rivière-au-Renard est un village d'environ 3 000 habitants qui a été incorporé à la ville de Gaspé, au Québec (Québec). Il est situé entre L'Anse-au-Griffon, Petit-Cap et Sainte-Majorique. Le village est considéré comme la « Capitale des pêches » au Québec. (Wikipédia)

Constitué civilement en 1856 et peuplé au moment de sa constitution par des immigrants de l’Irlande, majoritairement ceux qui sont restés dans la région suite au naufrage du Carrick en 1847, le village de Rivière-au-Renard s’étale sur les rives d’une baie. Rivière-au-Renard porte fièrement aujourd’hui le titre de « Capitale des pêches » du Québec. Et ce n’est pas sans raison. En effet, son histoire locale se caractérise depuis plus de 200 ans par l’exploitation de la ressource halieutique. (Wikipédia)

Vous n'avez qu'à suivre la 132 - un jeu d'enfant pour s'y rendre avec un panorama à couper le souffle!