Je lisais un livre ce matin dans lequel il y avait une citation de Nietzche (philosophe et poète allemand né en 1844). Elle m'a rejoint citant vraiment ce que je pense et je vis. Elle se lisait comme suit :
We love life (nous aimons la vie)
not because we are used to living (non pas parce que nous sommes habitués à vivre)
but because we are use to loving (mais parce que nous sommes habitués à aimer)
J'aime beaucoup cette citation. J'aime la vie car j'aime tout et tout fait partie de la vie. J'ai même aimé ma petite "dépression" des derniers jours car elle me prouve que j'aime ce que j'ai quitté autant que j'aime ce qui m'a accueilli. Je savais que cela viendrait car j'ai laissé beaucoup dernière pour entreprendre cette nouvelle partie de ma vie. Je l'ai accueillie et je l'ai vécue comme elle venait. Je me suis couchée ne sachant pas quoi faire d'autre, j'ai pleuré aussi me questionnant. Mais tout cela pour moi est sain et normal. Cela fait partie de la vie. Maintenant ça va bien car j'ai réussi à me faire comprendre que je n'avais rien perdu mais tout gagné. Je suis heureuse et chanceuse d'avoir pu faire ce que j'ai fait avec la santé qui m'est donnée. J'aurai probablement d'autres épisodes de tristesses - j'en avais aussi lorsque j'étais à Sherbrooke. C'est ça la vie pour moi, des hauts et des bas et souvent les bas renforcent les hauts - du moins c'est ce que j'ai remarqué, c'est ce qui arrive dans mon cas. J'aimerais maintenant vous faire connaître un petit poème que j'ai écrit moi-même (eh! oui!) avant de partir de l'Estrie. Ce n'est pas de l'art mais cela définie très bien mon était d'esprit face à l'aventure que je commençais. Permettez-moi.
Je m'exile en Gaspésie
Où je m'y ferai des amis
Mais jamais je n'oublierai
Ceux d'ici que j'ai tant aimé
Je m'exile en Gaspésie
Pour commencer une nouvelle vie
Mes amis d'ici seront toujours avec moi
Pour toujours m'apporter de la joie
Si un jours je m'ennuie en Gaspésie
Je reviendrai en Estrie
Retrouver mes amis bien aimés
Qui j'espère ne m'auront pas oublié
Saint-Maxime-du-Mont-Louis est une municipalité du Québec située dans la MRC de La Haute-Gaspésie en Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine. La ville est membre de la Fédération des Villages-relais du Québec.
Son nom tirerait son origine de « l'abbé Maxime Tardif (1821-1850), secrétaire de monseigneur Pierre-Flavien Turgeon lors de la fondation de la paroisse, ainsi que du nom de la seigneurie de Mont-Louis
Le recensement de 2006 y dénombre 1 194 habitants
Son économie repose sur les services, le tourisme, la forêt et la pêche. Mont-Louis compte 2 usines de transformation du poisson et son anse peut accueillir tous les types de bateaux.
La municipalité est l'hôte de 2 parcs éoliens et est un village-relais
S'y trouve des lacs à truite.
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